Auteur : Info Cloud

Vous ont promis « 600 méga » et vous ne voyez que 60 Mo/s ? Ce n’est pas toujours un problème : la confusion vient des unités

Vous ont promis « 600 méga » et vous ne voyez que 60 Mo/s ? Ce n’est pas toujours un problème : la confusion vient des unités

Parfois, il n’est pas nécessaire qu’il y ait une panne de réseau, un routeur défectueux ou une interventation de l’opérateur pour que la même phrase apparaisse dans des milliers de foyers : « Internet est plus lent que ce qu’on m’a vendu ». Cela se produit généralement dans un contexte précis : lorsqu’on contracte une connexion de 300, 600 ou 1000 mégas, qu’on lance un téléchargement et qu’on constate des chiffres qui semblent trop faibles. La frustration arrive rapidement, mais les explications sont presque toujours plus simples qu’il n’y paraît : on compare des unités différentes. Dans le domaine des télécommunications cohabitent deux mesures très similaires visuellement mais aux significations différentes : mégabits (Mb) et mégaoctets (MB). Leur ressemblance visuelle

Le son du modem revient en 2025 : des Espagnols testent le « dial-up » sur fibre… et découvrent le nouveau goulet d’étranglement

Le son du modem revient en 2025 : des Espagnols testent le « dial-up » sur fibre… et découvrent le nouveau goulet d’étranglement

Depuis des années, l’accès à Internet via modem analogique semblait appartenir au passé : un reliquat technologique des années 90, des BBS et de cette attente interminable pendant que le modem “chantait” sur la ligne. Pourtant, fin décembre 2025, un fil dans le forum Bandaancha.eu a ravivé l’expérience à la fois nostalgique et révélatrice : connecter un modem RTB (réseau téléphonique de base) à une ligne fixe moderne en fibre optique (FTTH) pour voir si, deux décennies plus tard, il est encore possible de naviguer de cette manière. L’origine de cette exploration fut une découverte précise : un numéro d’accès qui, d’après les utilisateurs, répond encore en Espagne : 901 904 020, avec des identifiants “généraux” (par exemple tu@orange et

La Chine renforce le "Made in China" dans les usines de puces avec un seuil de 50 % pour les nouveaux projets

La Chine renforce le « Made in China » dans les usines de puces avec un seuil de 50 % pour les nouveaux projets

La Chine a entamé 2026 avec une indication claire pour son industrie des semi-conducteurs : ceux qui souhaitent construire ou étendre leur capacité de production devront, en règle pratique, incorporer au moins 50 % d’équipements fabriqués dans le pays. Il ne s’agit pas d’une norme officiellement publiée, mais d’un critère qui — selon des sources citées par Reuters — est déjà appliqué lors de la procédure et de l’approbation des projets, devenant ainsi une exigence de facto pour donner le feu vert aux expansions. De la pénurie de chips au goulet d’étranglement industriel Pendant des années, le discours mondial s’est concentré sur les chips avancés, la mémoire, l’emballage et la capacité de fabrication. Cependant, le noyau du problème s’est déplacé

Fujifilm augmente la mise sur la bande magnétique avec LTO Ultrium 10 de 40 To, face à la pression de l'IA sur le stockage

Fujifilm augmente la mise sur la bande magnétique avec LTO Ultrium 10 de 40 To, face à la pression de l’IA sur le stockage

La discussion sur l’infrastructure pour l’Intelligence Artificielle tourne souvent autour des GPU, des interconnexions et de la consommation d’énergie. Mais il existe une couche moins visible — et de plus en plus déterminante — qui reprend du pouvoir dans les centres de données : le stockage à grande échelle. Dans ce contexte, Fujifilm a annoncé le lancement de sa nouvelle cartouche FUJIFILM LTO Ultrium 10 (40TB), une bande magnétique professionnelle qui augmente la capacité jusqu’à 40 To sans compression et jusqu’à 100 To avec compression, avec des expéditions prévues à partir de janvier 2026. Cela ne doit pas être pris à la légère : dans un secteur où les projets d’IA génèrent des volumes massifs de données — ensembles de

NVIDIA entre en le capital d'Intel avec 5 milliards de dollars : une manœuvre d'IA qui concerne aussi la souveraineté industrielle

NVIDIA entre en le capital d’Intel avec 5 milliards de dollars : une manœuvre d’IA qui concerne aussi la souveraineté industrielle

NVIDIA devient officiellement l’un des actionnaires majeurs d’Intel. La société dirigée par Jensen Huang a finalisé un investissement de 5 milliards de dollars pour acquérir presque 5% du fabricant américain de semiconducteurs. Cette opération a été réalisée par le biais d’une placement privé d’actions et, selon la documentation fournie par Intel, elle s’est conclue à la fin décembre 2025. Ce mouvement intervient à un moment où l’industrie traverse une paradoxe : alors qu’il y a plus d’argent que jamais pour développer la capacité de calcul dédiée à l’intelligence artificielle, le véritable goulet d’étranglement ne se limite plus à la fabrication de GPU ou à l’emballage avancé. La maîtrise de toute la chaîne de production devient de plus en plus cruciale

La course à l'IA bute contre le mur électrique : turbines « d'avion » et générateurs fossiles pour alimenter les centres de données

La course à l’IA bute contre le mur électrique : turbines « d’avion » et générateurs fossiles pour alimenter les centres de données

Le secteur de l’intelligence artificielle s’est habitué à parler de puces, de mémoire, de capital et de modèles de plus en plus grands. Cependant, en 2025, de nombreux opérateurs découvrent que le vrai goulet d’étranglement est plus prosaïque et difficile à accélérer : obtenir de l’électricité à temps. Lorsqu’il manque de réseau — ou qu’il arrive trop tard — le secteur recourt à des solutions qui, jusqu’à récemment, relèvaient d’urgences : la génération locale avec des turbines aéroréactives (technologie héritée de l’aviation) et des groupes électrogènes diesel ou gaz comme sources principales. Cette image est puissante, car elle est aussi littérale. Des fournisseurs d’énergie temporaires déploient des systèmes basés sur des turbines aéroréactives — moteurs dérivés de l’aéronautique adaptés à

Vous ont promis « 600 méga » et vous ne voyez que 60 Mo/s ? Ce n’est pas toujours un problème : la confusion vient des unités

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Parfois, il n’est pas nécessaire qu’il y ait une panne de réseau, un routeur défectueux ou une interventation de l’opérateur pour que la même phrase apparaisse dans des milliers de foyers : « Internet est plus lent que ce qu’on m’a vendu ». Cela se produit généralement dans un contexte précis : lorsqu’on contracte une connexion de 300, 600 ou 1000 mégas, qu’on lance un téléchargement et qu’on constate des chiffres qui semblent trop faibles. La frustration arrive rapidement, mais les explications sont presque toujours plus simples qu’il n’y paraît : on compare des unités différentes. Dans le domaine des télécommunications cohabitent deux mesures très similaires visuellement mais aux significations différentes : mégabits (Mb) et mégaoctets (MB). Leur ressemblance visuelle

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Depuis des années, l’accès à Internet via modem analogique semblait appartenir au passé : un reliquat technologique des années 90, des BBS et de cette attente interminable pendant que le modem “chantait” sur la ligne. Pourtant, fin décembre 2025, un fil dans le forum Bandaancha.eu a ravivé l’expérience à la fois nostalgique et révélatrice : connecter un modem RTB (réseau téléphonique de base) à une ligne fixe moderne en fibre optique (FTTH) pour voir si, deux décennies plus tard, il est encore possible de naviguer de cette manière. L’origine de cette exploration fut une découverte précise : un numéro d’accès qui, d’après les utilisateurs, répond encore en Espagne : 901 904 020, avec des identifiants “généraux” (par exemple tu@orange et

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La Chine a entamé 2026 avec une indication claire pour son industrie des semi-conducteurs : ceux qui souhaitent construire ou étendre leur capacité de production devront, en règle pratique, incorporer au moins 50 % d’équipements fabriqués dans le pays. Il ne s’agit pas d’une norme officiellement publiée, mais d’un critère qui — selon des sources citées par Reuters — est déjà appliqué lors de la procédure et de l’approbation des projets, devenant ainsi une exigence de facto pour donner le feu vert aux expansions. De la pénurie de chips au goulet d’étranglement industriel Pendant des années, le discours mondial s’est concentré sur les chips avancés, la mémoire, l’emballage et la capacité de fabrication. Cependant, le noyau du problème s’est déplacé

Fujifilm augmente la mise sur la bande magnétique avec LTO Ultrium 10 de 40 To, face à la pression de l'IA sur le stockage

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La discussion sur l’infrastructure pour l’Intelligence Artificielle tourne souvent autour des GPU, des interconnexions et de la consommation d’énergie. Mais il existe une couche moins visible — et de plus en plus déterminante — qui reprend du pouvoir dans les centres de données : le stockage à grande échelle. Dans ce contexte, Fujifilm a annoncé le lancement de sa nouvelle cartouche FUJIFILM LTO Ultrium 10 (40TB), une bande magnétique professionnelle qui augmente la capacité jusqu’à 40 To sans compression et jusqu’à 100 To avec compression, avec des expéditions prévues à partir de janvier 2026. Cela ne doit pas être pris à la légère : dans un secteur où les projets d’IA génèrent des volumes massifs de données — ensembles de

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Le secteur de l’intelligence artificielle s’est habitué à parler de puces, de mémoire, de capital et de modèles de plus en plus grands. Cependant, en 2025, de nombreux opérateurs découvrent que le vrai goulet d’étranglement est plus prosaïque et difficile à accélérer : obtenir de l’électricité à temps. Lorsqu’il manque de réseau — ou qu’il arrive trop tard — le secteur recourt à des solutions qui, jusqu’à récemment, relèvaient d’urgences : la génération locale avec des turbines aéroréactives (technologie héritée de l’aviation) et des groupes électrogènes diesel ou gaz comme sources principales. Cette image est puissante, car elle est aussi littérale. Des fournisseurs d’énergie temporaires déploient des systèmes basés sur des turbines aéroréactives — moteurs dérivés de l’aéronautique adaptés à