Catégorie : Cybersécurité

Tiny Core Linux 16.2 : le « antidote » minimal contre l'obésité de Windows 11

Tiny Core Linux 16.2 : le « antidote » minimal contre l’obésité de Windows 11

Alors que Windows 11 continue d’exiger du matériel de plus en plus puissant pour effectuer des tâches élémentaires, Tiny Core Linux 16.2 rappelle qu’un système d’exploitation de bureau peut rester extrêmement petit… tout en étant véritablement utile. La dernière version de cette distribution minimaliste occupe environ 23 Mo pour son édition avec interface graphique. Il ne s’agit pas d’un simple programme d’installation : c’est un système complet et bootable, avec un environnement de bureau, qui tient en moins d’espace que de nombreuses photos réalisées avec un smartphone. Un bureau Linux en 23 Mo Tiny Core Linux 16.2, publiée fin septembre, conserve la philosophie qui a fait de ce projet un classique parmi les systèmes ultra-légers : un noyau minimal, le

Samsung redouble son pari sur le « DTCO » : ainsi, elle souhaite exploiter chaque nanomètre en combinant conception et procédé pour améliorer les performances, la surface et la consommation

Samsung remonte avec son procédé de 4 nm et décroche une commande de 100 millions de dollars pour une nouvelle puce d’IA

Samsung commence à tourner la page de l’un de ses plus grands défis dans le domaine des semi-conducteurs. Son procédé de fabrication en 4 nanomètres, qui pendant des années a souffert de problèmes de performance et de pertes de contrats face à TSMC, aurait désormais atteint des taux de rendement compris entre 60 et 70 %. Cette amélioration aurait permis la signature d’un nouveau contrat supérieur à 100 millions de dollars avec la société américaine Tsavorite Scalable Intelligence, spécialisée dans l’intelligence artificielle. Selon les informations diffusées par des médias sud-coréens, Samsung Foundry produira pour cette entreprise une OPU (Omni Processing Unit), un processeur combinant CPU, GPU et mémoire dans un seul encapsulant, destiné à supporter les charges de travaux d’IA

Les fabricants de téléphones pensent sérieusement à ressusciter la microSD pour arrêter la « tempête parfaite » de la mémoire

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La scène semblait dépassée : les fentes pour cartes microSD disparaissaient de la majorité des smartphones, notamment dans les gammes moyenne et haut de gamme, privilégiant des designs plus épurés et un stockage interne toujours plus généreux. Mais l’émergence de l’intelligence artificielle sur mobile associée à la montée des coûts de la mémoire a bouleversé les règles du jeu. À tel point que plusieurs fabricants envisagent désormais de faire marche arrière et de réintroduire la microSD comme une échappatoire pour gérer les coûts. Les signaux proviennent, bien sûr, de Chine. Sur le réseau social Weibo, des fuites provenant de sources très suivies dans le secteur indiquent que divers fabricants envisageraient sérieusement de réincorporer des fentes microSD dans des modèles d’entrée

Brett Johnson, le hacker légendaire qui prévient : l'avenir de la cybercriminalité sera une usine d'escroqueries alimentée par l'IA

Brett Johnson, le hacker légendaire qui prévient : l’avenir de la cybercriminalité sera une usine d’escroqueries alimentée par l’IA

Depuis des années, la principale menace sur Internet portait un nom : des personnes comme Brett Johnson, l’un des cybercriminels les plus connus du début des années 2000. Aujourd’hui, ce même ancien hacker, qui a quitté la criminalité pour collaborer avec les autorités, lance une alerte percutante : le vrai danger qui nous attend ne vient plus des individus, mais de l’intelligence artificielle. Son diagnostic n’est pas une simple formule choc. Johnson décrit un avenir proche où les escroqueries ne seront plus conçues par des criminels isolés tapant sur leur clavier, mais par des systèmes automatisés capables d’écrire, de parler, d’imiter des visages et de gérer des milliers de victimes simultanément. Une organisation criminelle où l’humain devient de plus en

La nouvelle stratégie de Trump transforme la technologie en arme centrale du pouvoir

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La Stratégie de Sécurité Nationale des États-Unis 2025, signée sous la présidence de Donald Trump, est avant tout un document technologique présenté sous une forme géopolitique. Au-delà des références à l’Europe, à la Chine ou au « Corollaire Trump » de la Doctrine Monroe, le message fondamental destiné à l’écosystème numérique est clair : celui qui contrôle l’intelligence artificielle, les semi-conducteurs, les infrastructures numériques et la cybersécurité dominera une grande partie de l’ordre mondial des prochaines décennies. Pour un lecteur spécialisé en technologie, ce document ressemble presque à une feuille de route des priorités : renforcer la suprématie en IA, biotechnologie et calcul quantique, garantir l’approvisionnement en semi-conducteurs, sécuriser les réseaux critiques contre les cyberattaques, et utiliser la puissance financière

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