
L’Europe renforce son engagement en faveur de la souveraineté numérique pendant que les grandes technologies américaines soutiennent Trump.
L’essor des services européens comme Ecosia et ProtonMail souligne les inquiétudes croissantes de l’UE face à l’hégémonie technologique des États-Unis. L’Europe aspire à une véritable souveraineté numérique, mais la réalité est cruelle : les plus grandes entreprises technologiques du monde restent majoritairement américaines et, pour la plupart, soutiennent ouvertement l’ancien président et actuel dirigeant Donald Trump. Cette situation a ravivé en Europe le débat sur la dépendance numérique, dans un contexte de tension géopolitique, de préoccupations en matière de vie privée et de craintes d’une concentration de pouvoir sans précédent. Depuis des années, des plateformes telles que Google, Facebook, Amazon, X (anciennement Twitter), Netflix et Instagram font partie intégrante de la vie quotidienne des Européens. Les abandonner semble difficile, même