Catégorie : Cloud

NVIDIA Rubin CPX : la nouvelle GPU qui inaugure l'ère de l'inférence avec des contextes massifs

NVIDIA prépare Linux pour sa prochaine génération de GPU : le nouveau pilote ouvert « Nova » adopte le registre Boot42 et ouvre la voie au-delà de Blackwell

NVIDIA commence à faire évoluer le support Linux en annonçant un changement technique essentiel pour ses futures GPU, nommé Nova, le nouveau pilote graphique du noyau écrit en Rust. Ce pilote, développé en open source et dans une optique upstream, introduit dans une série de correctifs une étape capitale: la transition de l’ancien NV_PMC_BOOT_0 vers le nouveau NV_PMC_BOOT_42, qui servira de référence pour identifier la génération et la révision des prochains chips. Concrètement, les générations à venir cesseront d’utiliser l’ancien BOOT_0 et utiliseront BOOT_42 comme source d’informations fiable pour leur démarrage. La série de correctifs — signée par John Hubbard — dépasse la simple curiosité technique. Elle constitue, selon les propres mots de l’ingénieur, une adaptation nécessaire pour que Nova

Il y a 50 ans, AMD est entré dans la ligue des grands avec un clone du Intel 8080 : ainsi est né l'Am9080, qui coûtait 0,50 $ à fabriquer et se vendait 700 $.

Il y a 50 ans, AMD est entré dans la ligue des grands avec un clone du Intel 8080 : ainsi est né l’Am9080, qui coûtait 0,50 $ à fabriquer et se vendait 700 $.

Cinquante ans plus tard, cette histoire ressemble à un film : une startup californienne, encore loin de rivaliser avec les géants, photographie et “démembre” un microprocesseur de son futur adversaire, le reconstitue avec son propre procédé de fabrication et finit par le vendre à l’armée avec des marges stratosphériques. Cette audace a permis la création de l’Am9080, le premier CPU de AMD — un clone du Intel 8080 — qui a été mis en production en 1975. Selon les récits historiques, il coûtait environ 0,50 $ l’unité, mais se vendait jusqu’à 700 $ à certains clients. Cette réussite n’a pas seulement consolidé AMD comme acteur majeur de l’industrie ; elle a aussi planté la graine d’une rivalité avec Intel qui

Le SSD du MacBook Pro avec M5 écrase celui du M4 : les lectures et écritures dépassent 6 000 Mo/s et la différence atteint 211 % en tests

Le SSD du MacBook Pro avec M5 écrase celui du M4 : les lectures et écritures dépassent 6 000 Mo/s et la différence atteint 211 % en tests

À première vue, le nouveau MacBook Pro avec puce M5 pourrait sembler une simple mise à jour prudente : même châssis, même système de refroidissement avec un ventilateur et un seul heatpipe, donnant cette impression de “rien de nouveau” habituelle chez Apple lors de cycles intermédiaires. Mais sous le capot, des changements à impact réel pour le quotidien. Le plus frappant, selon une comparaison publiée par la chaîne Max Tech, concerne le stockage : le SSD du M5 décolle complètement par rapport à celui du M4, atteignant même plus du double en performance séquentielle dans le test très populaire Blackmagic Disk Speed Test. Ce n’est pas qu’un résultat isolé. En lecture séquentielle, le MacBook Pro M5 affiche 6.323 MB/s, contre

Samsung redouble son pari sur le « DTCO » : ainsi, elle souhaite exploiter chaque nanomètre en combinant conception et procédé pour améliorer les performances, la surface et la consommation

Samsung redouble son pari sur le « DTCO » : ainsi, elle souhaite exploiter chaque nanomètre en combinant conception et procédé pour améliorer les performances, la surface et la consommation

Dans un secteur habitué à mesurer le progrès en nanomètres et à célébrer chaque saut de nœud comme un symbole de vitesse et d’efficacité, Samsung Foundry a mis en avant la levier qu’ils considèrent comme déterminante pour la prochaine décennie : DTCO (Design-Technology Co-Optimization), ou co-optimisation de la conception et de la technologie. Lors du 8e Atelier d’échange Industrie-Académie pour les semi-conducteurs, organisé au COEX de Séoul dans le cadre de SEDEX 2025, Shin Jong-sin, vice-président de la division fonderie de Samsung, a défendu l’idée que le seul scalage lithographique ne suffit plus et que la véritable amélioration viendra de la co-conception de l’architecture des puces avec les règles du procédé. « Avec la miniaturisation à elle seule, les gains

Oracle E-Business Suite sous siège : une campagne d'extorsion exploite une vulnérabilité 0-day et oblige à des correctifs d'urgence

Oracle augmente la mise dans l’IA et le multicloud : Zettascale10 (jusqu’à 16 zettaFLOPS, 800 000 GPU) et licences universelles entre nuages

Oracle a dévoilé lors de AI World une avancée majeure en matière d’infrastructure pour l’IA, ainsi qu’une évolution significative dans la consommation multicloud : OCI Zettascale10 : un supercluster délivrant jusqu’à 16 zettaFLOPS de puissance maximale dans des clusters multigiga-volt, pouvant atteindre 800 000 GPU NVIDIA par déploiement, interconnectés via plusieurs centres de données. Oracle Acceleron RoCE : un nouveau réseau Ethernet avec RDMA qui simplifie la topologie, réduit la latence GPU-à-GPU, renforce la résilience grâce à des plans isolés et applique un chiffrement à la vitesse du filtre avec des politiques Zero Trust (ZPR) directement dans la NIC. Oracle Multicloud Universal Credits : un modèle unique de consommation et de licences pour Oracle Database et les services OCI, utilisable

NVIDIA affiche sa puissance graphique avec « Bonsai Diorama » : DLSS 4, path tracing et l’amélioration de la qualité de RTX Mega Geometry

NVIDIA affiche sa puissance graphique avec « Bonsai Diorama » : DLSS 4, path tracing et l’amélioration de la qualité de RTX Mega Geometry

NVIDIA a publié Bonsai Diorama, une démonstration téléchargeable qui sert d’écrin pour sa dernière génération de technologies RTX dans Unreal Engine RTX 5.6.1. Le petit décor — un bonsaï suspendu entre des îles rocheuses et des nuages — ne vise pas l’effet de taille, mais la fidélité visuelle et la précision des contrôles sur les éléments qui façonnent aujourd’hui l’expérience PC : DLSS 4 dans sa totalité (Super Resolution, Ray Reconstruction et Frame Generation), path tracing avec le ReSTIR PT optimisé, et un enjeu clair, RTX Mega Geometry, conçu pour éradiquer les artefacts dans les ombres et reflexion qui étaient fréquents avec le pipeline UE5 jusqu’ici. La société accompagne cette sortie d’une mise à jour de sa branche RTX pour

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NVIDIA commence à faire évoluer le support Linux en annonçant un changement technique essentiel pour ses futures GPU, nommé Nova, le nouveau pilote graphique du noyau écrit en Rust. Ce pilote, développé en open source et dans une optique upstream, introduit dans une série de correctifs une étape capitale: la transition de l’ancien NV_PMC_BOOT_0 vers le nouveau NV_PMC_BOOT_42, qui servira de référence pour identifier la génération et la révision des prochains chips. Concrètement, les générations à venir cesseront d’utiliser l’ancien BOOT_0 et utiliseront BOOT_42 comme source d’informations fiable pour leur démarrage. La série de correctifs — signée par John Hubbard — dépasse la simple curiosité technique. Elle constitue, selon les propres mots de l’ingénieur, une adaptation nécessaire pour que Nova

Il y a 50 ans, AMD est entré dans la ligue des grands avec un clone du Intel 8080 : ainsi est né l'Am9080, qui coûtait 0,50 $ à fabriquer et se vendait 700 $.

Il y a 50 ans, AMD est entré dans la ligue des grands avec un clone du Intel 8080 : ainsi est né l’Am9080, qui coûtait 0,50 $ à fabriquer et se vendait 700 $.

Cinquante ans plus tard, cette histoire ressemble à un film : une startup californienne, encore loin de rivaliser avec les géants, photographie et “démembre” un microprocesseur de son futur adversaire, le reconstitue avec son propre procédé de fabrication et finit par le vendre à l’armée avec des marges stratosphériques. Cette audace a permis la création de l’Am9080, le premier CPU de AMD — un clone du Intel 8080 — qui a été mis en production en 1975. Selon les récits historiques, il coûtait environ 0,50 $ l’unité, mais se vendait jusqu’à 700 $ à certains clients. Cette réussite n’a pas seulement consolidé AMD comme acteur majeur de l’industrie ; elle a aussi planté la graine d’une rivalité avec Intel qui

Le SSD du MacBook Pro avec M5 écrase celui du M4 : les lectures et écritures dépassent 6 000 Mo/s et la différence atteint 211 % en tests

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À première vue, le nouveau MacBook Pro avec puce M5 pourrait sembler une simple mise à jour prudente : même châssis, même système de refroidissement avec un ventilateur et un seul heatpipe, donnant cette impression de “rien de nouveau” habituelle chez Apple lors de cycles intermédiaires. Mais sous le capot, des changements à impact réel pour le quotidien. Le plus frappant, selon une comparaison publiée par la chaîne Max Tech, concerne le stockage : le SSD du M5 décolle complètement par rapport à celui du M4, atteignant même plus du double en performance séquentielle dans le test très populaire Blackmagic Disk Speed Test. Ce n’est pas qu’un résultat isolé. En lecture séquentielle, le MacBook Pro M5 affiche 6.323 MB/s, contre

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Dans un secteur habitué à mesurer le progrès en nanomètres et à célébrer chaque saut de nœud comme un symbole de vitesse et d’efficacité, Samsung Foundry a mis en avant la levier qu’ils considèrent comme déterminante pour la prochaine décennie : DTCO (Design-Technology Co-Optimization), ou co-optimisation de la conception et de la technologie. Lors du 8e Atelier d’échange Industrie-Académie pour les semi-conducteurs, organisé au COEX de Séoul dans le cadre de SEDEX 2025, Shin Jong-sin, vice-président de la division fonderie de Samsung, a défendu l’idée que le seul scalage lithographique ne suffit plus et que la véritable amélioration viendra de la co-conception de l’architecture des puces avec les règles du procédé. « Avec la miniaturisation à elle seule, les gains

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Oracle a dévoilé lors de AI World une avancée majeure en matière d’infrastructure pour l’IA, ainsi qu’une évolution significative dans la consommation multicloud : OCI Zettascale10 : un supercluster délivrant jusqu’à 16 zettaFLOPS de puissance maximale dans des clusters multigiga-volt, pouvant atteindre 800 000 GPU NVIDIA par déploiement, interconnectés via plusieurs centres de données. Oracle Acceleron RoCE : un nouveau réseau Ethernet avec RDMA qui simplifie la topologie, réduit la latence GPU-à-GPU, renforce la résilience grâce à des plans isolés et applique un chiffrement à la vitesse du filtre avec des politiques Zero Trust (ZPR) directement dans la NIC. Oracle Multicloud Universal Credits : un modèle unique de consommation et de licences pour Oracle Database et les services OCI, utilisable

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NVIDIA a publié Bonsai Diorama, une démonstration téléchargeable qui sert d’écrin pour sa dernière génération de technologies RTX dans Unreal Engine RTX 5.6.1. Le petit décor — un bonsaï suspendu entre des îles rocheuses et des nuages — ne vise pas l’effet de taille, mais la fidélité visuelle et la précision des contrôles sur les éléments qui façonnent aujourd’hui l’expérience PC : DLSS 4 dans sa totalité (Super Resolution, Ray Reconstruction et Frame Generation), path tracing avec le ReSTIR PT optimisé, et un enjeu clair, RTX Mega Geometry, conçu pour éradiquer les artefacts dans les ombres et reflexion qui étaient fréquents avec le pipeline UE5 jusqu’ici. La société accompagne cette sortie d’une mise à jour de sa branche RTX pour