Catégorie : Cloud

XPipe : le “hub” de connexions qui veut simplifier la vie du sysadmin sans rien installer sur les serveurs

XPipe : le “hub” de connexions qui veut simplifier la vie du sysadmin sans rien installer sur les serveurs

Dans presque toutes les équipes opérationnelles, on retrouve la même scène : une douzaine (ou des centaines) de connexions SSH réparties entre bastions, sauts intermédiaires, machines virtuelles, conteneurs, clusters et environnements Windows, gérées à coups d’historique, de notes et d’onglets. Dans ce contexte, XPipe s’impose avec une proposition remarquablement novatrice : il ne vise pas à remplacer les outils de l’administrateur système, mais à les réunir sous un « hub » local permettant de lancer des sessions, de transférer des fichiers, d’ouvrir des tunnels et d’exécuter des actions sur une infrastructure hétérogène, depuis un seul point d’accès. L’idée est simple : gérer les connexions et flux de travail liés à l’infrastructure directement depuis le bureau, sans installer d’agents ni composants

Gartner dessine la carte des risques et opportunités pour 2026 dans l'Infrastructure et les Opérations : IA agissante, énergie et "géopatrie"

Gartner dessine la carte des risques et opportunités pour 2026 dans l’Infrastructure et les Opérations : IA agissante, énergie et « géopatrie »

Le calendrier des infrastructures et opérations (I&O) pour 2026 met déjà en avant six mots-clés qui commencent à résonner dans les bureaux des CIO, CFO et responsables des risques : informatique hybride, intelligence artificielle (IA) agentique, plateformes de gouvernance de l’IA, informatique écoénergétique, sécurité contre la désinformation et « géopatriation ». Ce sont ces six tendances que Gartner considère comme les plus influentes dans les 12 à 18 prochains mois, présentées lors de sa conférence dédiée à l’I&O et aux stratégies cloud tenue à Las Vegas. Au-delà du titre, le message est financier : le coût total d’exploitation des technologies IT ne se résume plus à la simple rénovation des serveurs ou à la renégociation des contrats cloud. En 2026,

BIOS vs UEFI : pourquoi le « mode de démarrage » continue de poser problème lors de l'installation de Windows et Linux

BIOS vs UEFI : pourquoi le « mode de démarrage » continue de poser problème lors de l’installation de Windows et Linux

Le démarrage d’un ordinateur ne commence pas sur le disque dur ni avec le système d’exploitation. Il commence Avant : dans le firmware de la carte mère, ce logiciel de bas niveau chargé de initialiser le matériel, de vérifier que tout fonctionne correctement et de transmettre le contrôle au chargeur de démarrage du système. Pendant des décennies, ce rôle était assuré par le BIOS, mais depuis plusieurs années, la norme réelle sur les machines modernes est le UEFI. Comprendre la différence ne relève pas d’un détail « geek » : c’est la raison pour laquelle de nombreuses installations échouent, pourquoi un disque « ne démarre pas » après clonage, ou pourquoi une clé USB bootable fonctionne sur un PC mais pas sur un autre.

PCLink, la télécommande open source pour contrôler le PC depuis le mobile, accélère son évolution sur Windows et Linux

PCLink, la télécommande open source pour contrôler le PC depuis le mobile, accélère son évolution sur Windows et Linux

Contrôler un PC depuis un smartphone n’est plus réservé aux outils commerciaux de support à distance. Ces derniers mois, PCLink s’est démarqué avec une proposition innovante : une approche web-first (priorité au web) qui associe une application de bureau —le « serveur » installé sur l’ordinateur— à un client mobile Android, conçu pour gérer la machine de façon fluide tout en mettant l’accent sur la confidentialité. Le concept est à la fois simple et puissant : l’ordinateur exécute un service local qui expose une interface web et une API. Le smartphone devient alors un panneau de contrôle. Depuis cette interface, il est possible de parcourir les fichiers, transférer des documents, visualiser les processus en cours, envoyer du texte comme clavier,

Le «EUv Frankenstein» de la Chine n'a encore fabriqué aucune puce : la lithographie la plus avancée dépend toujours d'une chaîne mondiale presque impossible à reproduire

Le «EUv Frankenstein» de la Chine n’a encore fabriqué aucune puce : la lithographie la plus avancée dépend toujours d’une chaîne mondiale presque impossible à reproduire

Une idée digne d’un film d’espionnage technologique : un laboratoire clandestin en Chine, des pièces récupérées ici et là, des ingénieurs travaillant sous de fausses identités, tout cela dans le but obsessionnel de bâtir une machine de lithographie EUV (extrême ultraviolet) capable de fabriquer des puces de pointe sans dépendre de l’Occident. Mais la réalité, pour l’instant, est bien moins épique et davantage prosaïque. Selon les informations récentes et l’analyse publiée par des médias spécialisés, l’outil EUV supposé « reconstruit » par la Chine n’a encore produit aucune puce et, dans le meilleur des cas, reste un simple prototype nécessitant plusieurs années avant de pouvoir envisager une utilisation opérationnelle. Le point de départ est un article de Reuters décrivant un

Washington vise un « 50/50 » avec Taïwan dans les semi-conducteurs, mais il manque la pièce maîtresse : une chaîne d'approvisionnement propre et mature

La machine du puce s’accélère : SEMI prévoit un record de 133 milliards en équipement en 2025, propulsé par l’IA, HBM et l’emballage avancé

La course à la fabrication de puces plus grandes et de meilleure qualité ne se limite plus à la simple conception du modèle le plus imposant, mais devient une compétition beaucoup plus tangible : combien d’outils sont installés dans les usines, combien de lignes sont automatisées et quelle capacité réelle est mise en production. Ce « thermomètre » — la vente mondiale d’équipements pour semi-conducteurs — atteint des sommets historiques. Selon les prévisions présentées par SEMI lors de Semicon Japan, les ventes mondiales d’équipements de fabrication de semi-conducteurs connaîtront une croissance de 13,7 % en 2025, atteignant un record de 133 milliards de dollars. Et si le cycle ne se brise pas, cette tendance devrait se poursuivre en 2026 (145

XPipe : le “hub” de connexions qui veut simplifier la vie du sysadmin sans rien installer sur les serveurs

XPipe : le “hub” de connexions qui veut simplifier la vie du sysadmin sans rien installer sur les serveurs

Dans presque toutes les équipes opérationnelles, on retrouve la même scène : une douzaine (ou des centaines) de connexions SSH réparties entre bastions, sauts intermédiaires, machines virtuelles, conteneurs, clusters et environnements Windows, gérées à coups d’historique, de notes et d’onglets. Dans ce contexte, XPipe s’impose avec une proposition remarquablement novatrice : il ne vise pas à remplacer les outils de l’administrateur système, mais à les réunir sous un « hub » local permettant de lancer des sessions, de transférer des fichiers, d’ouvrir des tunnels et d’exécuter des actions sur une infrastructure hétérogène, depuis un seul point d’accès. L’idée est simple : gérer les connexions et flux de travail liés à l’infrastructure directement depuis le bureau, sans installer d’agents ni composants

Gartner dessine la carte des risques et opportunités pour 2026 dans l'Infrastructure et les Opérations : IA agissante, énergie et "géopatrie"

Gartner dessine la carte des risques et opportunités pour 2026 dans l’Infrastructure et les Opérations : IA agissante, énergie et « géopatrie »

Le calendrier des infrastructures et opérations (I&O) pour 2026 met déjà en avant six mots-clés qui commencent à résonner dans les bureaux des CIO, CFO et responsables des risques : informatique hybride, intelligence artificielle (IA) agentique, plateformes de gouvernance de l’IA, informatique écoénergétique, sécurité contre la désinformation et « géopatriation ». Ce sont ces six tendances que Gartner considère comme les plus influentes dans les 12 à 18 prochains mois, présentées lors de sa conférence dédiée à l’I&O et aux stratégies cloud tenue à Las Vegas. Au-delà du titre, le message est financier : le coût total d’exploitation des technologies IT ne se résume plus à la simple rénovation des serveurs ou à la renégociation des contrats cloud. En 2026,

BIOS vs UEFI : pourquoi le « mode de démarrage » continue de poser problème lors de l'installation de Windows et Linux

BIOS vs UEFI : pourquoi le « mode de démarrage » continue de poser problème lors de l’installation de Windows et Linux

Le démarrage d’un ordinateur ne commence pas sur le disque dur ni avec le système d’exploitation. Il commence Avant : dans le firmware de la carte mère, ce logiciel de bas niveau chargé de initialiser le matériel, de vérifier que tout fonctionne correctement et de transmettre le contrôle au chargeur de démarrage du système. Pendant des décennies, ce rôle était assuré par le BIOS, mais depuis plusieurs années, la norme réelle sur les machines modernes est le UEFI. Comprendre la différence ne relève pas d’un détail « geek » : c’est la raison pour laquelle de nombreuses installations échouent, pourquoi un disque « ne démarre pas » après clonage, ou pourquoi une clé USB bootable fonctionne sur un PC mais pas sur un autre.

PCLink, la télécommande open source pour contrôler le PC depuis le mobile, accélère son évolution sur Windows et Linux

PCLink, la télécommande open source pour contrôler le PC depuis le mobile, accélère son évolution sur Windows et Linux

Contrôler un PC depuis un smartphone n’est plus réservé aux outils commerciaux de support à distance. Ces derniers mois, PCLink s’est démarqué avec une proposition innovante : une approche web-first (priorité au web) qui associe une application de bureau —le « serveur » installé sur l’ordinateur— à un client mobile Android, conçu pour gérer la machine de façon fluide tout en mettant l’accent sur la confidentialité. Le concept est à la fois simple et puissant : l’ordinateur exécute un service local qui expose une interface web et une API. Le smartphone devient alors un panneau de contrôle. Depuis cette interface, il est possible de parcourir les fichiers, transférer des documents, visualiser les processus en cours, envoyer du texte comme clavier,

Le «EUv Frankenstein» de la Chine n'a encore fabriqué aucune puce : la lithographie la plus avancée dépend toujours d'une chaîne mondiale presque impossible à reproduire

Le «EUv Frankenstein» de la Chine n’a encore fabriqué aucune puce : la lithographie la plus avancée dépend toujours d’une chaîne mondiale presque impossible à reproduire

Une idée digne d’un film d’espionnage technologique : un laboratoire clandestin en Chine, des pièces récupérées ici et là, des ingénieurs travaillant sous de fausses identités, tout cela dans le but obsessionnel de bâtir une machine de lithographie EUV (extrême ultraviolet) capable de fabriquer des puces de pointe sans dépendre de l’Occident. Mais la réalité, pour l’instant, est bien moins épique et davantage prosaïque. Selon les informations récentes et l’analyse publiée par des médias spécialisés, l’outil EUV supposé « reconstruit » par la Chine n’a encore produit aucune puce et, dans le meilleur des cas, reste un simple prototype nécessitant plusieurs années avant de pouvoir envisager une utilisation opérationnelle. Le point de départ est un article de Reuters décrivant un

Washington vise un « 50/50 » avec Taïwan dans les semi-conducteurs, mais il manque la pièce maîtresse : une chaîne d'approvisionnement propre et mature

La machine du puce s’accélère : SEMI prévoit un record de 133 milliards en équipement en 2025, propulsé par l’IA, HBM et l’emballage avancé

La course à la fabrication de puces plus grandes et de meilleure qualité ne se limite plus à la simple conception du modèle le plus imposant, mais devient une compétition beaucoup plus tangible : combien d’outils sont installés dans les usines, combien de lignes sont automatisées et quelle capacité réelle est mise en production. Ce « thermomètre » — la vente mondiale d’équipements pour semi-conducteurs — atteint des sommets historiques. Selon les prévisions présentées par SEMI lors de Semicon Japan, les ventes mondiales d’équipements de fabrication de semi-conducteurs connaîtront une croissance de 13,7 % en 2025, atteignant un record de 133 milliards de dollars. Et si le cycle ne se brise pas, cette tendance devrait se poursuivre en 2026 (145