
Washington veut que NVIDIA revende des GPU d’IA en Chine : changement pragmatique ou erreur stratégique ?
Les États-Unis se préparent à un changement délicat sur l’une des frontières technologiques les plus sensibles du moment. L’administration Trump envisage de nouveau autoriser NVIDIA à vendre ses GPU d’intelligence artificielle les plus avancés, tels que la H200, en Chine, après des années de contrôles de plus en plus stricts conçus précisément pour l’interdire. Sur le papier, cette démarche apparaît comme une tentative de normaliser les relations commerciales après une trêve dans la guerre technologique. En pratique, elle soulève une question complexe pour tout le secteur :Dans quelle mesure est-il pertinent de limiter l’accès de la Chine aux puces d’IA si, tous les quelques mois, Washington modifie les règles du jeu ? Du coup de frein à une ouverture “modérée”




