Malgré l’entrée en vigueur imminente des réglementations européennes DORA et NIS2, seulement un tiers des organisations européennes (34 %) a terminé ses préparatifs pour répondre aux exigences demandées, selon une étude récente de Sailpoint. La réglementation DORA, qui sera obligatoire pour les banques et les assurances à partir de janvier 2025, et l’extension de NIS2, qui s’appliquera dès ce mois d’octobre à davantage de secteurs, visent à améliorer la cybersécuritéLes solutions de cybersécurité sont essentielles à l’ère di… et la capacité de réponse face aux incidents au sein de l’Union Européenne.
Cependant, le défi de se conformer à ces réglementations, qui affecte également les fournisseurs et d’autres organisations industrielles et non industrielles, reste considérable. Armatum, l’entreprise créatrice de la première plateforme en Espagne pour la quantification du risque technologique en termes financiers, a intégré les risques de non-conformité avec DORA et NIS2 dans ses évaluations, renforçant son outil pour que les entreprises puissent gérer leurs risques technologiques avec plus de précision.
L’intelligence artificielle, clé de la conformité réglementaire
Le volume croissant de réglementations, ajouté à l’augmentation des coûts de conformité, a suscité l’inquiétude dans les conseils d’administration de nombreuses entreprises. Une étude de Thomson Reuters souligne que la pression due à ces coûts est l’un des principaux défis auxquels sont confrontées les organisations. Pour y remédier, on s’attend à ce que l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) augmente de manière exponentielle. Selon les prévisions de Gartner, 60 % des entreprises utiliseront l’IA pour améliorer leur cybersécurité et la conformité réglementaire d’ici à 2025, contre 20 % actuellement.
L’implémentation de l’IA en cybersécurité promet non seulement de réduire les incidents cybernétiques de 30 %, selon un rapport de McKinsey, mais aussi de réduire de 25 % les coûts associés à la conformité réglementaire, en particulier dans les secteurs régulés par DORA, comme l’estime Deloitte.
Armatum : une plateforme de pointe pour la gestion du risque technologique
Dans ce contexte, Armatum, appartenant au groupe technologique ABAI, a renforcé sa plateforme avec la capacité de mesurer en termes financiers les risques technologiques associés à la cybersécurité et au respect des réglementations telles que DORA et NIS2. Son outil offre une analyse détaillée qui permet aux organisations d’identifier les risques, d’auditer leur état de sécurité, et de communiquer ces risques de manière claire à leurs équipes exécutives.
Manuel Carpio, directeur de la cybersécurité chez Armatum, a souligné : « Cet outil apporte une valeur compétitive différentielle, étant capable d’identifier et d’auditer l’état de sécurité de votre organisation et de communiquer les risques de manière statistique et financière ». De plus, la plateforme est facile à utiliser et hautement personnalisable, ce qui facilite son adaptation aux besoins spécifiques de chaque entreprise.
Avec cette mise à jour, Armatum se positionne comme un outil clé pour l’évaluation des risques, la résilience opérationnelle numérique et la gestion du risque dérivé de tiers, en se conformant aux normes internationales telles que ISO 27001, 27005 et PCI-DSS. Elle offre également des rapports économiques justificatifs qui peuvent être utilisés dans la présentation de propositions d’investissement pour la sécurité d’entreprise.
L’urgence de se conformer à DORA et NIS2 pousse de nombreuses organisations à rechercher des solutions innovantes telles que l’IA, et des plateformes comme celle d’Armatum apparaissent comme des options idéales pour relever ces nouveaux défis réglementaires et garantir la protection contre les cyberattaques.