Catégorie : Cloud

BIOS vs UEFI : pourquoi le « mode de démarrage » continue de poser problème lors de l'installation de Windows et Linux

BIOS vs UEFI : pourquoi le « mode de démarrage » continue de poser problème lors de l’installation de Windows et Linux

Le démarrage d’un ordinateur ne commence pas sur le disque dur ni avec le système d’exploitation. Il commence Avant : dans le firmware de la carte mère, ce logiciel de bas niveau chargé de initialiser le matériel, de vérifier que tout fonctionne correctement et de transmettre le contrôle au chargeur de démarrage du système. Pendant des décennies, ce rôle était assuré par le BIOS, mais depuis plusieurs années, la norme réelle sur les machines modernes est le UEFI. Comprendre la différence ne relève pas d’un détail « geek » : c’est la raison pour laquelle de nombreuses installations échouent, pourquoi un disque « ne démarre pas » après clonage, ou pourquoi une clé USB bootable fonctionne sur un PC mais pas sur un autre.

PCLink, la télécommande open source pour contrôler le PC depuis le mobile, accélère son évolution sur Windows et Linux

PCLink, la télécommande open source pour contrôler le PC depuis le mobile, accélère son évolution sur Windows et Linux

Contrôler un PC depuis un smartphone n’est plus réservé aux outils commerciaux de support à distance. Ces derniers mois, PCLink s’est démarqué avec une proposition innovante : une approche web-first (priorité au web) qui associe une application de bureau —le « serveur » installé sur l’ordinateur— à un client mobile Android, conçu pour gérer la machine de façon fluide tout en mettant l’accent sur la confidentialité. Le concept est à la fois simple et puissant : l’ordinateur exécute un service local qui expose une interface web et une API. Le smartphone devient alors un panneau de contrôle. Depuis cette interface, il est possible de parcourir les fichiers, transférer des documents, visualiser les processus en cours, envoyer du texte comme clavier,

Le «EUv Frankenstein» de la Chine n'a encore fabriqué aucune puce : la lithographie la plus avancée dépend toujours d'une chaîne mondiale presque impossible à reproduire

Le «EUv Frankenstein» de la Chine n’a encore fabriqué aucune puce : la lithographie la plus avancée dépend toujours d’une chaîne mondiale presque impossible à reproduire

Une idée digne d’un film d’espionnage technologique : un laboratoire clandestin en Chine, des pièces récupérées ici et là, des ingénieurs travaillant sous de fausses identités, tout cela dans le but obsessionnel de bâtir une machine de lithographie EUV (extrême ultraviolet) capable de fabriquer des puces de pointe sans dépendre de l’Occident. Mais la réalité, pour l’instant, est bien moins épique et davantage prosaïque. Selon les informations récentes et l’analyse publiée par des médias spécialisés, l’outil EUV supposé « reconstruit » par la Chine n’a encore produit aucune puce et, dans le meilleur des cas, reste un simple prototype nécessitant plusieurs années avant de pouvoir envisager une utilisation opérationnelle. Le point de départ est un article de Reuters décrivant un

Washington vise un « 50/50 » avec Taïwan dans les semi-conducteurs, mais il manque la pièce maîtresse : une chaîne d'approvisionnement propre et mature

La machine du puce s’accélère : SEMI prévoit un record de 133 milliards en équipement en 2025, propulsé par l’IA, HBM et l’emballage avancé

La course à la fabrication de puces plus grandes et de meilleure qualité ne se limite plus à la simple conception du modèle le plus imposant, mais devient une compétition beaucoup plus tangible : combien d’outils sont installés dans les usines, combien de lignes sont automatisées et quelle capacité réelle est mise en production. Ce « thermomètre » — la vente mondiale d’équipements pour semi-conducteurs — atteint des sommets historiques. Selon les prévisions présentées par SEMI lors de Semicon Japan, les ventes mondiales d’équipements de fabrication de semi-conducteurs connaîtront une croissance de 13,7 % en 2025, atteignant un record de 133 milliards de dollars. Et si le cycle ne se brise pas, cette tendance devrait se poursuivre en 2026 (145

ASUS pourrait entrer sur le marché de la RAM en 2026 : une réaction à la pénurie de DDR5 et à la pression de l'IA

ASUS pourrait entrer sur le marché de la RAM en 2026 : une réaction à la pénurie de DDR5 et à la pression de l’IA

Le marché de la mémoire traverse une période inhabituelle : alors que les centres de données se livrent une compétition féroce pour le matériel dédié à l’Intelligence Artificielle, les consommateurs commencent à ressentir indirectement les conséquences, notamment sur un composant aussi fondamental que la RAM. Dans ce contexte, une rumeur provenant de médias spécialisés évoque un mouvement inattendu : ASUS envisagerait de devenir un fabricant (ou plus précisément, un producteur) de modules de mémoire RAM si la situation d’offre et de prix ne se normalise pas dans les mois à venir. Originaire des médias technologiques du Moyen-Orient, cette information a été relayée par d’autres sources internationales. Selon ces rapports, ASUS pourrait lancer ses propres lignes de production de modules mémoire

Fortinet et Arista présentent une architecture « prête pour l'IA » combinant réseau à faible latence et sécurité Zero Trust

Fortinet et Arista présentent une architecture « prête pour l’IA » combinant réseau à faible latence et sécurité Zero Trust

Fortinet et Arista Networks ont annoncé une solution conjointe pour les centres de données axés sur l’Intelligence Artificielle, visant à résoudre l’un des principaux défis actuels : comment faire évoluer des clusters GPU sans que la sécurité ne devienne un frein… ni que le réseau se transforme en un point unique de défaillance. Cette proposition, baptisée Fortinet Secure AI Data Center, a été développée en collaboration avec Arista et, selon les deux entreprises, a déjà été déployée chez Monolithic Power Systems (MPS) en tant qu’implémentation de référence. L’idée centrale est simple à expliquer, mais complexe à mettre en œuvre : combiner “le meilleur des deux mondes” — la commutation et l’équilibrage de charge à haute vitesse, d’une part, et la

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Le démarrage d’un ordinateur ne commence pas sur le disque dur ni avec le système d’exploitation. Il commence Avant : dans le firmware de la carte mère, ce logiciel de bas niveau chargé de initialiser le matériel, de vérifier que tout fonctionne correctement et de transmettre le contrôle au chargeur de démarrage du système. Pendant des décennies, ce rôle était assuré par le BIOS, mais depuis plusieurs années, la norme réelle sur les machines modernes est le UEFI. Comprendre la différence ne relève pas d’un détail « geek » : c’est la raison pour laquelle de nombreuses installations échouent, pourquoi un disque « ne démarre pas » après clonage, ou pourquoi une clé USB bootable fonctionne sur un PC mais pas sur un autre.

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Washington vise un « 50/50 » avec Taïwan dans les semi-conducteurs, mais il manque la pièce maîtresse : une chaîne d'approvisionnement propre et mature

La machine du puce s’accélère : SEMI prévoit un record de 133 milliards en équipement en 2025, propulsé par l’IA, HBM et l’emballage avancé

La course à la fabrication de puces plus grandes et de meilleure qualité ne se limite plus à la simple conception du modèle le plus imposant, mais devient une compétition beaucoup plus tangible : combien d’outils sont installés dans les usines, combien de lignes sont automatisées et quelle capacité réelle est mise en production. Ce « thermomètre » — la vente mondiale d’équipements pour semi-conducteurs — atteint des sommets historiques. Selon les prévisions présentées par SEMI lors de Semicon Japan, les ventes mondiales d’équipements de fabrication de semi-conducteurs connaîtront une croissance de 13,7 % en 2025, atteignant un record de 133 milliards de dollars. Et si le cycle ne se brise pas, cette tendance devrait se poursuivre en 2026 (145

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Le marché de la mémoire traverse une période inhabituelle : alors que les centres de données se livrent une compétition féroce pour le matériel dédié à l’Intelligence Artificielle, les consommateurs commencent à ressentir indirectement les conséquences, notamment sur un composant aussi fondamental que la RAM. Dans ce contexte, une rumeur provenant de médias spécialisés évoque un mouvement inattendu : ASUS envisagerait de devenir un fabricant (ou plus précisément, un producteur) de modules de mémoire RAM si la situation d’offre et de prix ne se normalise pas dans les mois à venir. Originaire des médias technologiques du Moyen-Orient, cette information a été relayée par d’autres sources internationales. Selon ces rapports, ASUS pourrait lancer ses propres lignes de production de modules mémoire

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