
L’Allemagne ferme la porte à Huawei pour la 6G : Merz durcit le discours sur la souveraineté numérique
Le débat sur la souveraineté technologique européenne s’est récemment intensifié. Le chancelier allemand, Friedrich Merz, a déclaré que l’Allemagne n’autoriserait pas de composants en provenance de Chine dans ses futurs réseaux 6G et qu’« à défaut », il remplacerait également les équipements chinois déjà présents dans la 5G par des technologies considérées comme propres ou issues de partenaires alliés. Bien que cette déclaration ait été faite lors d’une séance de questions-réponses lors d’un congrès d’affaires à Berlin — et ne fasse pas partie du discours officiel —, ses implications politiques et géostratégiques sont considérables. Merz a également annoncé qu’il souhaitait porter ce débat au prochain « Sommet européen pour la souveraineté numérique », où il espère ouvrir une discussion plus




