Auteur : Lola CFB

Anguilla et le boom de l'IA : comment un ccTLD de 1995 est devenu la mine d'or (quasi) inattendue de l'IA

Anguilla et le boom de l’IA : comment un ccTLD de 1995 est devenu la mine d’or (quasi) inattendue de l’IA

Treinta años después de que Anguille obtuviera por azar el dominio territorial .ai, la pequeña isla del Caribe vive un “Eldorado” digital impulsado por la fiebre de la inteligencia artificial. Lo que en 1995 comenzó como un simple ccTLD —similar a .es o .mx— hoy se ha convertido en un activo fiscal y de marca con alcance mundial: Perplexity.ai, x.ai, google.ai y miles de proyectos menores han adoptado estas dos letras como apodo oficial de la IA. Este fenómeno resulta doblemente revelador. Por un lado, demuestra cómo la semántica de un dominio puede redefinir su demanda (de “Isla Anguille” a “Inteligencia Artificial”). Por otro, pone en evidencia los riesgos y oportunidades de que una economía pequeña y abierta dependa de

Votre connexion ne fonctionne jamais ! : pourquoi le Wi-Fi dans les trains à grande vitesse en Espagne est insuffisant et comment les satellites (Starlink et Kuiper) pourraient changer le voyage

Votre connexion ne fonctionne jamais ! : pourquoi le Wi-Fi dans les trains à grande vitesse en Espagne est insuffisant et comment les satellites (Starlink et Kuiper) pourraient changer le voyage

Il existe des phrases qui se répètent comme un mantra dans les wagons silencieux du train à grande vitesse : « pas de charge», « encore coupé », « impossible d’envoyer le fichier ». Le wifi à bord reste l’une des lacunes majeures du ferroviaire en Espagne. Et ce, non seulement pour plus de confort : aujourd’hui, pour beaucoup, voyager c’est travailler en mouvement. Alors que des pays européens ont homogénéisé leur expérience numérique dans leurs trains, en Espagne, les voyageurs alternent entre moments de connexion fluide et zones d’ombre rendant une visioconférence presque impossible. La bonne nouvelle est que la technologie propose deux solutions complémentaires pour sortir de ce cercle : améliorer le réseau terrestre le long de la

IBM accélère la correction d'erreurs quantiques : décodage en temps réel sur FPGA AMD « 10 fois plus rapide que nécessaire » propulse le projet Starling

IBM accélère la correction d’erreurs quantiques : décodage en temps réel sur FPGA AMD « 10 fois plus rapide que nécessaire » propulse le projet Starling

IBM fait un pas de géant dans la computation quantique, cette fois en s’appuyant non plus sur le cryostat, mais sur le matériel classique qui doit collaborer étroitement avec le processeur quantique. D’après les avancées du secteur et les indications provenant de l’équipe IBM, la société a exécuté une correction d’erreurs quantiques en temps réel sur des FPGAs standard d’AMD, atteignant une performance dix fois supérieure au seuil requis pour son objectif immédiat : stabiliser les qubits logiques en mémoire quantique. Cet exploit débloque l’un des principaux goulets d’étranglement vers une tolérance aux fautes, où la décodification cesse d’être une opération lente et coûteuse pour devenir un coprocessing agile à côté du processeur quantique. Ce progrès ne surgit pas de

Tesla FSD : de Mobileye aux puces "faites maison", telle a été l'évolution de l'ordinateur de conduite assistée et autonome

Tesla FSD : de Mobileye aux puces « faites maison », telle a été l’évolution de l’ordinateur de conduite assistée et autonome

Tesla a mis en cœur de sa stratégie de conduite assistée et autonome son ordinateur de bord. Ce qui a commencé en 2014 avec un module Mobileye a évolué vers des générations successives de plateformes —NVIDIA Drive PX2, et, depuis 2019, des puces conçues par Tesla elle-même— qui exécutent des réseaux neuronaux à un rythme croissant, avec une philosophie de plus en plus claire : moins de capteurs « classiques », plus de vision et de calcul. En moins de dix ans, la société est passée d’un EyeQ3 en 40 nm et quelques watts à des ordinateurs intégrant deux puces redondantes Tesla en 7 nm, avec des CPUs à 20 cœurs et un TDP allant jusqu’à 160 W. Elle évoque

NVIDIA Rubin CPX : la nouvelle GPU qui inaugure l'ère de l'inférence avec des contextes massifs

NVIDIA prépare Linux pour sa prochaine génération de GPU : le nouveau pilote ouvert « Nova » adopte le registre Boot42 et ouvre la voie au-delà de Blackwell

NVIDIA commence à faire évoluer le support Linux en annonçant un changement technique essentiel pour ses futures GPU, nommé Nova, le nouveau pilote graphique du noyau écrit en Rust. Ce pilote, développé en open source et dans une optique upstream, introduit dans une série de correctifs une étape capitale: la transition de l’ancien NV_PMC_BOOT_0 vers le nouveau NV_PMC_BOOT_42, qui servira de référence pour identifier la génération et la révision des prochains chips. Concrètement, les générations à venir cesseront d’utiliser l’ancien BOOT_0 et utiliseront BOOT_42 comme source d’informations fiable pour leur démarrage. La série de correctifs — signée par John Hubbard — dépasse la simple curiosité technique. Elle constitue, selon les propres mots de l’ingénieur, une adaptation nécessaire pour que Nova

Il y a 50 ans, AMD est entré dans la ligue des grands avec un clone du Intel 8080 : ainsi est né l'Am9080, qui coûtait 0,50 $ à fabriquer et se vendait 700 $.

Il y a 50 ans, AMD est entré dans la ligue des grands avec un clone du Intel 8080 : ainsi est né l’Am9080, qui coûtait 0,50 $ à fabriquer et se vendait 700 $.

Cinquante ans plus tard, cette histoire ressemble à un film : une startup californienne, encore loin de rivaliser avec les géants, photographie et “démembre” un microprocesseur de son futur adversaire, le reconstitue avec son propre procédé de fabrication et finit par le vendre à l’armée avec des marges stratosphériques. Cette audace a permis la création de l’Am9080, le premier CPU de AMD — un clone du Intel 8080 — qui a été mis en production en 1975. Selon les récits historiques, il coûtait environ 0,50 $ l’unité, mais se vendait jusqu’à 700 $ à certains clients. Cette réussite n’a pas seulement consolidé AMD comme acteur majeur de l’industrie ; elle a aussi planté la graine d’une rivalité avec Intel qui

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Treinta años después de que Anguille obtuviera por azar el dominio territorial .ai, la pequeña isla del Caribe vive un “Eldorado” digital impulsado por la fiebre de la inteligencia artificial. Lo que en 1995 comenzó como un simple ccTLD —similar a .es o .mx— hoy se ha convertido en un activo fiscal y de marca con alcance mundial: Perplexity.ai, x.ai, google.ai y miles de proyectos menores han adoptado estas dos letras como apodo oficial de la IA. Este fenómeno resulta doblemente revelador. Por un lado, demuestra cómo la semántica de un dominio puede redefinir su demanda (de “Isla Anguille” a “Inteligencia Artificial”). Por otro, pone en evidencia los riesgos y oportunidades de que una economía pequeña y abierta dependa de

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Tesla a mis en cœur de sa stratégie de conduite assistée et autonome son ordinateur de bord. Ce qui a commencé en 2014 avec un module Mobileye a évolué vers des générations successives de plateformes —NVIDIA Drive PX2, et, depuis 2019, des puces conçues par Tesla elle-même— qui exécutent des réseaux neuronaux à un rythme croissant, avec une philosophie de plus en plus claire : moins de capteurs « classiques », plus de vision et de calcul. En moins de dix ans, la société est passée d’un EyeQ3 en 40 nm et quelques watts à des ordinateurs intégrant deux puces redondantes Tesla en 7 nm, avec des CPUs à 20 cœurs et un TDP allant jusqu’à 160 W. Elle évoque

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NVIDIA commence à faire évoluer le support Linux en annonçant un changement technique essentiel pour ses futures GPU, nommé Nova, le nouveau pilote graphique du noyau écrit en Rust. Ce pilote, développé en open source et dans une optique upstream, introduit dans une série de correctifs une étape capitale: la transition de l’ancien NV_PMC_BOOT_0 vers le nouveau NV_PMC_BOOT_42, qui servira de référence pour identifier la génération et la révision des prochains chips. Concrètement, les générations à venir cesseront d’utiliser l’ancien BOOT_0 et utiliseront BOOT_42 comme source d’informations fiable pour leur démarrage. La série de correctifs — signée par John Hubbard — dépasse la simple curiosité technique. Elle constitue, selon les propres mots de l’ingénieur, une adaptation nécessaire pour que Nova

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Cinquante ans plus tard, cette histoire ressemble à un film : une startup californienne, encore loin de rivaliser avec les géants, photographie et “démembre” un microprocesseur de son futur adversaire, le reconstitue avec son propre procédé de fabrication et finit par le vendre à l’armée avec des marges stratosphériques. Cette audace a permis la création de l’Am9080, le premier CPU de AMD — un clone du Intel 8080 — qui a été mis en production en 1975. Selon les récits historiques, il coûtait environ 0,50 $ l’unité, mais se vendait jusqu’à 700 $ à certains clients. Cette réussite n’a pas seulement consolidé AMD comme acteur majeur de l’industrie ; elle a aussi planté la graine d’une rivalité avec Intel qui